Depuis que Résistex a converti à l’électrique 90% de sa flotte, les commerciaux de cette PME niçoise, spécialisée dans l’éclairage, ont dû adapter leurs habitudes. Notamment en regroupant leurs rendez-vous, histoire d’économiser la batterie de leur véhicule de fonction. Et aussi en prévoyant des temps de pause lors de leurs tournées, indispensables à la recharge… La bascule, engagée dans un souci de décarbonation, a tout de même nécessité des efforts financiers. Nicolas Biolley, directeur général de Résistex, constate ainsi un surcroît de loyer de 30% pour ses voitures électriques par rapport aux modèles thermiques. Soit environ 45 000 euros par an.

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