
Article sponsorisé par REM
Assurer la résistance des pièces métalliques est le cœur de métier de REM. Pouvez-vous l’expliquer ?
REM, c’est avant tout une PME familiale en constante expansion. Basés à Dijon, en Côte-d’Or (21), nous bénéficions d’un emplacement stratégique et d’installations industrielles capables d’accueillir des pièces de grandes dimensions. Cela nous donne un avantage concurrentiel certain dans le domaine du traitement de surface anticorrosion.
Nous réalisons ainsi la transformation de toutes formes de pièces et structures métalliques, par le biais de nombreux revêtements de surface : électro-zingage, cataphorèse, zinc-nickel ou zinc-fer, peinture, phosphatation… Le but est d’apporter durabilité et résistance aux pièces. Nos clients nous livrent leurs éléments, nous assurons le traitement anticorrosion, puis nous restituons les pièces aux clients.
L’entreprise se développe par croissance externe. Comment cela s’organise-t-il ?
Depuis que j’ai repris l’entreprise familiale en 2007, j’ai misé sur la croissance externe. En 2011, nous avons intégré l’usine BAUDOIN-THILLIEN à Auxerre, dans l’Yonne (89), puis en 2024, le site SETS à Chabris, dans l’Indre (36). Chaque site a ses spécificités : REM est reconnu dans les activités du bâtiment et réalise le traitement des chemins de câbles, BAUDOIN-THILLIEN s’est fait un nom dans le traitement des box de stockage dédiés à la viticulture et notamment pour les caisses métalliques de stockage du champagne. Le site SETS de Chabris, lui, est davantage orienté en direction des acteurs de la mobilité : automobile, poids lourds, véhicules agricoles et de manutention.
Les trois usines répondent également aux marchés de l’éolien, du nucléaire, du sport avec des éléments traités notamment pour la fabrication de ski, et également dans la grande distribution (présentoirs, broches de suspension ou penderie).
Comment vous adaptez-vous au contexte économique actuel ?
Nous observons un ralentissement dans certains secteurs, comme l’automobile, mais a contrario une forte dynamique dans d’autres, comme l’essor des data centers. Cette diversification en ce qui concerne nos domaines d’interventions constitue notre force, notre différence et est un véritable atout pour maintenir l’activité de nos trois usines et envisager notre développement.
L’activité industrielle du groupe mobilise 125 collaborateurs, renforcés par une trentaine d’intérimaires présents sur l’ensemble des sites du groupe. Le groupe réalise aujourd’hui 17,5 millions d’euros de chiffre d’affaires et poursuit son développement tout en investissant afin d’asseoir notre présence et gagner des parts de marché.
Quels sont vos projets d’investissement ?
Après avoir investi 5 millions d’euros sur le site d’Auxerre dans les années 2010, nous allons consacrer 3 millions d’euros d’ici 2028 au site de SETS. Cela comprendra une nouvelle ligne de production, une station d’épuration et une zone de stockage. L’objectif est clair : renforcer nos capacités, consolider notre place au niveau national et améliorer nos impacts environnementaux.
La rédaction n'a pas participé à la réalisation de cet article


















