Article sponsorisé par SIXT

La voiture reste le pilier des déplacements quotidiens pour la majorité des Français. Selon le baromètre Odoxa/SIXT publié en avril 2025, 79 % des sondés utilisent leur véhicule au moins une fois par semaine, et un Français sur deux en fait un usage quotidien. Si cette réalité s’explique par l’insuffisance des alternatives de transport, notamment dans les zones rurales et périurbaines, elle révèle aussi une tension croissante entre les usages ancrés et les enjeux de sobriété écologique.

Une dépendance territoriale et économique

Le chiffre est sans appel : 74 % des Français se considèrent dépendants de leur voiture, un chiffre qui grimpe à 95 % chez les automobilistes quotidiens. Cette dépendance est particulièrement marquée en dehors des grandes agglomérations, où l’offre de transport public reste limitée. Ainsi, 91 % des habitants des zones rurales et 82 % de ceux des petites villes reconnaissent leur dépendance à l’automobile.

80 % des conducteurs interrogés estiment ne pas pouvoir se passer de leur véhicule, rappelle Vinci Autoroutes, en particulier pour les trajets domicile-travail, faute d’alternative crédible ou disponible à proximité.

Cette dépendance est aussi financière. D’après le baromètre Odoxa/SIXT, 57 % des Français considèrent les dépenses liées aux transports comme un poste important de leur budget, un pourcentage qui monte à 70 % chez les automobilistes quotidiens et à 71 % chez les 25-34 ans. Face à la hausse du prix des carburants et à la pression sur le pouvoir d’achat, le coût du transport est devenu une préoccupation centrale.

Des attentes fortes en matière de flexibilité et d’écologie

Les Français ne rejettent pas le changement, mais attendent des alternatives concrètes. La baisse du coût du carburant est plébiscitée comme première priorité (64 %), suivie par la réduction du prix des transports collectifs (56 %) et leur densification (51 %). La praticité (50 %) et le temps de trajet (36 %) dominent les critères de choix d’un mode de transport, loin devant l’impact environnemental (9 %), signe d’un arbitrage encore contraint par le quotidien.

Pour autant, les habitudes évoluent. Deux tiers des Français déclarent avoir modifié leur comportement de mobilité ces dernières années. Près d’un Français sur trois a adopté des solutions alternatives comme le covoiturage (19 %), l’autopartage (15 %) ou la location de véhicules (10 %), avec un pic de 52 % chez les 18-24 ans.

La location, solution flexible en plein essor

Face à ces attentes, les solutions proposées par des acteurs comme SIXT s’imposent progressivement. Location de courte durée, abonnements mensuels, véhicules en libre-service : ces offres permettent une utilisation ponctuelle ou régulière sans les contraintes de l’achat, tout en maîtrisant les coûts.

Déjà, 37 % des Français ont loué un véhicule au cours des deux dernières années, et 87 % d’entre eux se disent satisfaits de leur expérience. Ce taux grimpe à 52 % chez les 25-34 ans. Pour les jeunes actifs urbains, la location apparaît comme un compromis entre liberté de mouvement et souci budgétaire. SIXT mise également sur l’électrification de sa flotte, répondant ainsi à la demande croissante de véhicules plus respectueux de l’environnement.

L’image des loueurs évolue en conséquence : 65 % des Français en ont désormais une bonne opinion, contre 34 % d’avis négatifs. Une évolution qui s’inscrit dans une logique plus large de consommation à l’usage, plus souple et plus adaptée à un monde en transition.

Multimodalité et partage : une mobilité à réinventer

Un tiers des Français combine déjà plusieurs modes de transport chaque semaine. Parmi les automobilistes hebdomadaires, 18 % utilisent aussi les transports en commun, 15 % font du vélo, et 8 % optent pour un deux-roues motorisé. Cette multimodalité, encouragée par l’émergence d’applications de mobilité et d’offres combinées, constitue une voie prometteuse pour désengorger les villes et réduire les émissions.

27 % des propriétaires de voiture envisagent aujourd’hui de s’en passer au profit de solutions partagées — un taux qui grimpe à 47 % chez les 18-24 ans. Cette mutation des usages, portée par une génération plus mobile, pourrait à terme redessiner les contours de la mobilité à la française.

La transition écologique ne pourra se faire sans inclure la voiture dans un écosystème multimodal repensé. L’enjeu n’est pas de l’éliminer, mais de réduire son usage exclusif et de favoriser des alternatives viables. En cela, les offres flexibles comme celles de SIXT, couplées à un investissement public massif dans les infrastructures et les transports collectifs, peuvent contribuer à rééquilibrer les usages.

La rédaction n'a pas participé à la réalisation de cet article