
Les tarifs des horodateurs varient selon les régions et les plages de France et pourraient être la mauvaise surprise de vos vacances. C’est le cas Marie-Chantal qui, au Midi-Libre, fait part de son mécontentement face aux parkings payants. «On a mis trois quarts d’heure avant de trouver une place, et on finit par payer», raconte la retraitée en se rendant pour l’été proche de la station balnéaire de Palavas-les-Flots. Résultat, Marie-Chantal pense économiser sur d’autres coûts : «Comme ça coûte cher de rester toute la journée, on fait moins d’achats dans les magasins».
Ce n’est pas la seule vacancière fataliste de ce coût qu’il ne faut donc pas négliger en vacances. Pour faire plaisir à son petit-fils Ethan, Sylvie a emmené le garçon de 11 ans dans une plage de Méditerranée où le coût du parking payant est plus onéreux. «J’ai payé 4,50 € pour trois heures, alors que ça aurait été 2,40 € au Grand Travers», explique la femme davantage habituée à une plage de la Grande-Motte, légèrement moins excessive.
Stationnement payant ou gratuit, les places valent chères aux abords des plages
En effet, certaines plages ne possèdent pas des zones avec un parking payant. Toujours dans l’Hérault, la plage de Palavas-les-Flots située à quinze minutes de l’Hôtel de Ville a un parking avec un stationnement qui y est gratuit. Les places sont très prisées et le premier arrivé est, alors, le premier servi.
Les années passent et les communes situées proches du littoral mettent fin à la gratuité du stationnement au niveau de leurs plages. Il y a deux ans, Anglet, seule ville de la côte basque où il était encore possible de stationner gratuitement, avait changé sa réglementation. Du 1er juillet au 31 octobre, il est désormais impossible de se garer sans payer aux abords de ses plages tous les jours de la semaine de 9h à 19h, expliqué France Bleu.

















