S’il devait choisir un des superpouvoirs des personnages de fiction incarnés par les figurines qui décorent son bureau, Dimitri Rassam choisirait sans nul doute l’invisibilité. Parler des films qu’il produit, défendre ses acteurs, promouvoir le cinéma français, tout cela le passionne, et il ne compte pas son temps. Mais placez-le sous un projecteur avant de sortir un appareil photo, et le voilà qui se métamorphose dans l’instant, pour ne se prêter à l’exercice que de mauvaise grâce.

Heureusement pour lui, ce n’est pas si fréquent. Aussi prospères que soient ses affaires, le producteur de 42 ans passe le plus souvent incognito. Sauf lorsque, pour les besoins de la promotion de ses films, il accepte de s’afficher en compagnie des femmes de sa vie, déclenchant alors un crépitement de flashs. Comme en 2023, lorsqu’il a monté les marches du Festival de Cannes au bras de Charlotte Casiraghi, la membre de la famille princière de Monaco qui était alors son épouse. Ou cette année, lorsqu’il a à nouveau foulé le tapis rouge pour présenter sa nouvelle grosse production, «Le Comte de Monte-Cristo», en compagnie de sa mère, l’actrice Carole Bouquet.

Un "meneur d'hommes avec une très grande éthique", pour son ami Guilaume Houzé

La suite est réservée aux abonnés
Abonnez-vous à Capital à partir de 1€ le premier mois
  • Accès à tous les articles réservés aux abonnés, sur le site et l'appli
  • Le magazine en version numérique
  • Navigation sans publicité
  • Sans engagement