Nouveau lifting pour la complémentaire santé solidaire (CSS). Ce dispositif, issu de la fusion de la couverture maladie universelle complémentaire (CMU-C) et de l’aide à la complémentaire santé (ACS), permet à ses 7,2 millions de bénéficiaires de s’affranchir des dépassements et des avances d’honoraires pratiqués par certains médecins, dentistes et autres infirmiers ou kinésithérapeutes. Il dispense également du paiement du forfait journalier et de la participation forfaitaire d’un euro, prélevée au nom de la franchise médicale. Son coût atteint 2,3 milliards d’euros par an selon la Cour des Comptes.

La suite est réservée aux abonnés
Abonnez-vous à Capital à partir de 1€ le premier mois
  • Accès à tous les articles réservés aux abonnés, sur le site et l'appli
  • Le magazine en version numérique
  • Navigation sans publicité
  • Sans engagement