C’était, pour la majorité des pilotes de ligne, un rêve d’enfant. «Je prenais souvent l’avion quand j’étais enfant car j’avais de la famille à l’étranger. J’ai immédiatement été passionné», nous raconte Vincent* qui se rappelle avoir eu le privilège de visiter le cockpit à plusieurs reprises. Depuis deux ans, il est copilote chez Transavia, filiale d’Air France-KLM. Être copilote, nous explique-t-il, ce n’est pas être pilote en moins bien. Il est certes sous la responsabilité du commandant de bord, mais les deux se relaient sur les mêmes missions. «Sur un vol aller-retour, le commandant va piloter à l’aller – décollage, atterrissage et gestion de la croisière – pendant que j’assure la surveillance des paramètres de vol, la communication avec les contrôleurs aériens, etc. Et au retour, on va inverser», explique-t-il.

La suite est réservée aux abonnés
Abonnez-vous à Capital à partir de 1€ le premier mois
  • Accès à tous les articles réservés aux abonnés, sur le site et l'appli
  • Le magazine en version numérique
  • Navigation sans publicité
  • Sans engagement