Les squatteurs seront-ils bientôt punis trois fois plus sévèrement ? C’est en tout cas le sens d’une proposition de loi déposée par le député d’Eure-et-Loir Guillaume Kasbarian (Renaissance) le 18 octobre, cosignée par les membres du groupe Renaissance et apparentés à l’Assemblée nationale. L’idée n’est pas nouvelle : en décembre 2020 déjà, un durcissement des peines avait été voté par les parlementaires, avant d’être censuré par le Conseil constitutionnel pour des motifs de procédure. “Nous attendons un autre véhicule législatif qui nous permettra de réintroduire le durcissement des sanctions”, promettait alors Guillaume Kasbarian, déjà à l’origine de cette loi, à Capital. Promesse tenue, donc, puisque les députés de la majorité présentent un nouveau texte un peu moins de deux ans plus tard.

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