C’est une des conséquences moins perceptibles de la hausse des prix, car elle n’est pas immédiatement subie par les ménages. Pourtant, l’inflation galopante va bien avoir des répercussions sur le logement des Français. Après s’être élevée à 3,6% sur un an le mois dernier, l’inflation accélère de nouveau au mois de mars, et culmine désormais à 4,5% sur 12 mois, selon les statistiques provisoires de l’Insee. Celle-ci s’est amplifiée sous la forte poussée des prix de l’énergie, “même si les mesures de ‘bouclier tarifaire’ ont nettement limité sa progression”, note l’institut statistique dans sa dernière note de conjoncture.

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