C’est le dernier produit conçu pour compléter sa future pension : issu de la loi Pacte de 2019, le plan d’épargne retraite (PER) s’est substitué progressivement aux autres dispositifs existants, tels que le Perp, le Madelin ou Préfon (qui ne peuvent plus être souscrits depuis octobre 2020). Comme eux, le PER, qui compte aujourd’hui 4,3 millions de détenteurs, est un produit tunnel dont l’épargne en compte, sauf exception, n’est récupérable qu’à la retraite.

Et si lui aussi bénéficie à l’entrée d’une fiscalité dorée (les versements sont déductibles du revenu taxable), il autorise, en prime, une sortie à 100% en capital (et non pas seulement en rente), en une ou plusieurs fois, est assorti de beaux avantages successoraux (aucuns droits à régler jusqu’à 152.500 euros par héritier en cas de décès avant 70 ans), et est transférable d’un établissement à un autre. Ce dernier point constitue un atout majeur.

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