Free est connu pour sa culture de l’innovation. Comment faites-vous pour cultiver cette singularité d’un point de vue RH ?

Thomas Reynaud : On s'interroge en permanence sur nos méthodes et on cherche à les adapter. On essaie de recruter sur les compétences plutôt que sur les diplômes. Il y a quelques années, par exemple, on avait du mal à trouver des gens dans le secteur de la fibre optique. Et puis on s'est aperçu qu'on pouvait chercher dans les écoles de plomberie ou d'électricité, car les savoir-faire qu’on y apprend sont immédiatement transférables aux métiers de la fibre optique. Pour embaucher des managers de boutiques, on va aussi au-delà du CV, en faisant des mises en situation concrètes à travers des jeux de rôle.

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