
Une nouvelle qui devrait ravir les passagers. Vous avez sans doute déjà vécu cette scène : être en possession d’un liquide d’une quantité supérieure à celle autorisée dans les bagages cabines d’un avion. Sauf que désormais, certains aéroports laissent davantage de latitude aux passagers. En effet, la limite des 100 ml n’est plus d’actualité. Comme le rapporte Franceinfo, les contenants allant jusqu’à deux litres sont autorisés à l’embarquement en cabine.
Dans les aéroports de Rome-Fiumicino, Milan et Bologne, la présence de nouveaux scanners est à l’origine de cette véritable avancée. Ce dernier «est capable d’analyser la substance à l’intérieur de la gourde, c’est sa caractéristique principale». «L’autre est qu’elle permet de voir le contenu des bagages dans une résolution 3D plus précise, faire tourner l’image et voir les objets sous plusieurs angles», précise Ivan Bassato, chief aviation officer. Le mécanisme est le même pour identifier des explosifs dans les valises.
Une nouveauté accueillie favorablement par la plupart des passagers
En revanche, en ce qui concerne les passagers en transit, ils restent soumis à la limite des 100 ml car le mécanisme coûte relativement cher. «Clairement le coût est supérieur. Ces scanners coûtent sept à huit fois plus cher que les précédents, c'est un investissement important mais pour la sécurité», assure Ivan Bassato. Un coût répercuté sur la taxe d’aéroport, «mais quelques centimes supplémentaires seulement».
Cette nouveauté a été accueillie favorablement par les passagers qui n’auront plus besoin de se rendre en boutique pour effectuer des achats supplémentaires et particulièrement coûteux. «J'économise une bouteille, plus besoin d'en racheter après la sécurité et puis c'est moins de plastique et une économie d’eau», reconnaît Mariano.


















