Si sur le papier, la règle est simple, dans la réalité les pratiques abusives sont légion. Une banque ne peut s’opposer à ce qu’un client change de couverture de prêt, et quitte la filiale d’assurance de l’établissement pour aller à la concurrence. Il suffit que cet emprunteur s’y prenne dans l’année suivant la souscription du crédit ou, au-delà, à la date anniversaire du prêt. Et que le nouveau contrat, censé le couvrir en cas de décès, d’invalidité, ou de grave maladie, comporte des garanties équivalentes à celui de départ. La banque doit alors donner sa réponse sous dix jours ouvrés.

La suite est réservée aux abonnés
Abonnez-vous à Capital à partir de 1€ le premier mois
  • Accès à tous les articles réservés aux abonnés, sur le site et l'appli
  • Le magazine en version numérique
  • Navigation sans publicité
  • Sans engagement