Malek Boukerchi dévore les kilomètres, sous toutes les latitudes, dans des conditions extrêmes : à – 40 degrés pour le marathon des Glaces en Antarctique, dans le désert pour la 1 000 kilomètres non-stop de Mauritanie, à 6 000 mètres d’altitude pour le Volcano Marathon. Cet ultramarathonien a accompagné 20 jeunes en difficulté et des chefs d’entreprise partenaires pour courir le légendaire marathon d’Athènes, le 12 novembre. Rencontre.

Avoir de l’endurance et le sens de l’effort

Quel plaisir éprouve-t-on à courir, comme vous, des marathons “extrêmes” ?

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