L’histoire de Bowers & Wilkins, profondément ancrée dans la Hi-Fi traditionnelle, ne l’a pas empêché de suivre attentivement l’évolution de la consommation musicale et des nouvelles technologies. Les nombreux modèles de casques Bluetooth et d’enceintes connectées du fabricant britannique en témoignent, avec de belles réussites à son actif, comme le récent PX7 S2, dont l’héritier vient tout juste d’être dévoilé.

Le PX7 S3 voit le jour trois ans après le PX7 S2, et seulement 1 an et demi après la subtile mise à jour amorcée avec le PX7 S2e. La quatrième version du fleuron de B&W vise une fois encore le sommet et n’hésite pas à dérouler tous les arguments nécessaires pour prouver son excellence. Passée la ribambelle d’adjectifs laudatifs, on constate que le PX7 S3 s’améliore en effet sur tous les aspects essentiels : plus de précision et de détail sonore, meilleure réduction de bruit active, kit mains-libres plus performant, confort et prise en mains optimisés. Tout porte à croire que le PX7 va encore frapper fort, assez pour passer du statut de challenger à celui de nouvelle référence ?

Le PX7 S3 a été lancé en avril 2025 au prix de 430 euros, soit le même tarif de lancement que le PX7 S2 et S2e. Nous avons testé le casque en version 1.0.0 du firmware avec une application B&W Music en version 2.10.1.

Qualité de fabrication : une franche réussite (4,5/5)

S’il y a une chose qu’on ne peut reprocher à la série des PX de B&W, c’est bien la qualité de fabrication, encore à l’honneur sur ce PX7 S3. Le design du petit dernier reprend de très nombreuses caractéristiques de son prédécesseur – avec une fois encore un assemblage extrêmement soigné et des matériaux de qualité –, seuls quelques menus détails esthétiques changent pour parachever la recette. On pourrait décrire longuement le détail apporté à chaque élément et les micro différences qui séparent les modèles, l’important à retenir est que le résultat est tout simplement excellent.

Le PX7 S3 perd quelques grammes dans son évolution, avec un poids dorénavant de 300 g (contre 307 g)
Le PX7 S3 perd quelques grammes dans son évolution, avec un poids dorénavant de 300 g (contre 307 g) © Benoit Campion pour Capital

Ces petits changements n’ont eu aucun effet sur l’excellente souplesse du casque : l'arceau supporte les torsions sans broncher et les oreillettes pivotent très généreusement à plat, dans les deux sens, une spécificité appréciable lorsqu’on doit porter le casque confortablement autour du cou. Il n’est en revanche pas question de plier totalement le casque pour gagner un peu de place. Un petit défaut que l’on veut bien excuser.

En matière de qualité de fabrication, le PX7 S3 n’a pas son pareil
En matière de qualité de fabrication, le PX7 S3 n’a pas son pareil © Benoit Campion pour Capital

Conscient du volume demandé pour le transport, B&W a légèrement réduit la taille de l’étui fourni avec le casque. Une attention appréciable, cela dit, ce dernier est encore un peu volumineux. Au moins, le casque est extrêmement bien protégé en son sein et, là aussi, le soin apporté à cet accessoire force le respect. Deux câbles (USB-C vers USB-C et USB-C vers mini-jack 3,5 mm) complètent la liste.

Confort : à un cheveu du confort idéal (4,5/5)

Le poids n’est pas le seul aspect optimisé sur ce S3, le fabricant précise également avoir légèrement revu la conception de son arceau et de la cavité des oreillettes pour maximiser le confort. Ces changements n’ont pas d’effet majeur sur l’expérience de port, globalement très proche de celle offerte par le précédent modèle, mais restent bons à prendre. Le PX7 S3 s’approche ainsi de l’excellence, mais il ne s’efface pas aussi parfaitement que les meilleurs en la matière, principalement à cause du point d’appui encore un poil perceptible sur le sommet de la tête.

© Benoit Campion pour Capital

Si l’on ne peut pas faire fi de ce point de détail, qui se ressent avant tout sur les longues sessions, il ne faut cela dit pas y voir un point rédhibitoire. Sur tous les autres points (répartition du poids, effet de pince, espace, contact avec les coussinets…) le PX7 S3 affiche une vraie maîtrise. Le casque est très agréable à porter au quotidien, et il sait rester parfaitement en place… beaucoup d’autres ne peuvent pas en dire autant.

Prise en main & fonctionnalités : efficacité et sobriété (4/5)

Bowers & Wilkins profite du PX7 S3 pour peaufiner l’expérience d’utilisation de son casque. Là aussi, rien de bouleversant au programme puisqu’il s’agit de petits changements. On s’attendait à un petit plus de générosité quant aux améliorations apportées, mais au moins, le casque conserve une prise en main efficace, fiable.

Les modifications portent principalement sur l’interaction avec le casque via des boutons mécaniques repositionnés/redessinés. L’effort paye, les commandes sont désormais plus aisément accessibles et réparties d’une manière un peu plus intuitive. Le PX7 S3 conserve sa panoplie d’aides embarquées pour guider l’utilisateur comme il se doit, on déplore encore que les quelques alertes vocales ne soient pas proposées dans d’autres langues que l’anglais. Et si toutefois vous avez besoin d’un petit coup de pouce pour appréhender les possibilités du casque, l’application smartphone B&W Music offre un tutoriel limpide (dans plusieurs langues dont le français cette fois).

Pas de commandes tactiles ici, le PX s’appuie sur des boutons mécaniques, un système moins sophistiqué mais plus fiable sur certains points. D’ailleurs, les commandes du PX7 S3 sont un peu plus réactives que sur les précédentes moutures.
Pas de commandes tactiles ici, le PX s’appuie sur des boutons mécaniques, un système moins sophistiqué mais plus fiable sur certains points. D’ailleurs, les commandes du PX7 S3 sont un peu plus réactives que sur les précédentes moutures. © Benoit Campion pour Capital

À l’image des autres modifications abordées, l’application B&W n’apporte pas beaucoup plus de choses avec l’arrivée du PX7 S3, en tous les cas au moment où nous rédigeons cet article. Elle se contente de l’essentiel avec un rappel de certaines informations et commandes disponibles sur le casque, en plus de quelques paramètres utiles (gestion des appareils connectés, mise en veille automatique). Le niveau de personnalisation n’est pas grandiose, mais au moins elle ne s'alourdit pas avec des fonctions gadgets. La seule nouveauté à signaler pour le moment est l’introduction d’un EQ 5 bandes (au lieu de 2). Une fonction de virtualisation audio 3D devrait arriver prochainement pour compléter la liste.

Nous n’avons pas grand chose à reprocher à l’interface de l’application B&W Music en matière de fluidité et de clarté. En revanche, l’obligation de créer un compte pour y accéder reste vraiment pénible.
Nous n’avons pas grand chose à reprocher à l’interface de l’application B&W Music en matière de fluidité et de clarté. En revanche, l’obligation de créer un compte pour y accéder reste vraiment pénible. © Benoit Campion pour Capital

Comme tout bon casque Bluetooth moderne premium, et comme sur les modèles antérieurs, le PX7 S3 s’appuie sur un capteur de port pour automatiser certaines fonctions liées à la lecture ou à la mise en veille. Le constructeur n’a pas communiqué d’amélioration à son sujet, nous avons cela dit remarqué une sensible amélioration de sa réactivité lors de l’interruption/reprise de la lecture. Sa fiabilité sur ce point n’est pas absolument parfaite en revanche (très rarement, nous avons dû enclencher manuellement la lecture après avoir remis le casque sur la tête).

Connectivité : une grande polyvalence (4,5/5)

La série PX de B&W fait figure de référence sur les possibilités de connexion, ce qui ne change pas avec le PX7 S3. Le casque du fabricant britannique est utilisable en sans-fil via Bluetooth, en filaire directement via USB-C sur de nombreux appareils (console de jeux, ordinateur, smartphones – flux 96 kHz/24 bits max.) ou alors via mini-jack grâce au second câble fourni. Un confort indéniable à la maison comme en déplacement, même si cela s’accompagne de l’impossibilité d’utiliser le casque hors tension.

Le casque bascule intelligemment, très fluidement, entre les différents modes de connexion et peut être utilisé en cours de charge
Le casque bascule intelligemment, très fluidement, entre les différents modes de connexion et peut être utilisé en cours de charge © Benoit Campion pour Capital

Plus spécifiquement sur le sans-fil, le casque offre à nouveau la connexion multipoint (2 appareils en simultané) et supporte le protocole d’appairage simplifié Google Fast Pair. Les codecs aptX Adaptive et Lossless sont une fois encore pris en charge, et une mise à jour future du firmware se chargera d’assurer la compatibilité avec le Bluetooth LE Audio (codec LC3 et fonction Auracast), encore trop peu répandu pour le moment. Rien à signaler sur la stabilité de la connexion, mais la latence, elle, est encore assez élevée dans le cas où l’on ne passe pas par une application intégrant une compensation automatique. Dommage, c'est le seul petit défaut de l'appareil en matière de connectivité.

Performances sonores : une personnalité affirmée (4,5/5)

Bowers & Wilkins n’est pas du genre à se reposer sur ses lauriers avec sa ligne PX. Une fois encore, la firme britannique a révisé l’architecture acoustique de son casque, plus précisément la conception de son haut-parleur (à l’exception de la membrane de 40 mm) et de l’amplification interne. Le PX7 S3 repousserait encore les limites en matière de précision et de dynamique, avec un son “incroyable”. Un beau programme.

Mesure de la réponse en fréquence : PX7 S2 (courbe bleue) vs PX7 V3 (noire). Cette courbe traduit la signature de l'appareil, sa capacité à reproduire avec plus ou moins d'intensité l'étendue des sons audibles par l'oreille humaine.
Mesure de la réponse en fréquence : PX7 S2 (courbe bleue) vs PX7 V3 (noire). Cette courbe traduit la signature de l'appareil, sa capacité à reproduire avec plus ou moins d'intensité l'étendue des sons audibles par l'oreille humaine. © Benoit Campion pour Capital

Une fois le casque sur les oreilles, on peut dire que l’auditeur n’est clairement pas dépaysé – pour peu qu’il ait eu l’occasion d’approcher le PX7 S2 auparavant, évidemment. La signature sonore des PX est bien identifiable, avec une sonorité très riche et immersive. Mais, par défaut, on est encore loin de toute promesse de “neutralité” sur le plan fréquentiel. Au contraire, le PX7 S3 a tendance à s’en éloigner puisqu’il force le trait sur les deux extrémités du spectre audio. On a beau louer les bienfaits qu’apporte la réponse très étendue du casque à ce niveau, l’effet recherché est un peu exagéré et tend fatalement au clivage, malgré une belle maîtrise globale. L’assise, l’impact provenant des extrêmes basses et basses (contrebasses/basses, grosse caisse/très larges percussions, synthétiseurs…) prennent facilement trop d’ampleur. De l’autre côté, la mise en avant des aigus/extrême aigus a pour effet d’ouvrir et “aérer” l’image sonore, mais elle accentue artificiellement la brillance. Les sifflantes de la voix (sons “f” et “s”) ainsi que l’aspect métallique/scintillant des cymbales ressortent nettement. Rien d’agressif en soi, fort heureusement, mais il faut apprécier ce type de coloration.

Mesure de la réponse en fréquence : PX7 S3 par défaut (courbe noire), PX7 S3 avec exemple d’EQ (courbe pointillés violet)
Mesure de la réponse en fréquence : PX7 S3 par défaut (courbe noire), PX7 S3 avec exemple d’EQ (courbe pointillés violet) © Benoit Campion pour Capital

Les toutes premières écoutes nous ont donc un peu décontenancés, pour ne pas dire un petit peu déçus, malgré les autres grandes qualités acoustiques du casque. Comme promis, le rendu sonore est très fin, ciselé, nuancé et, par dessus tout, extrêmement propre pour un produit de ce type. Le PX7 S3 est indéniablement un casque sain sur le plan acoustique. La gestion de la distorsion est l’une des meilleures que nous avons pu observer.

Tout est bien qui finit bien, par chance, car l’égaliseur de l’application B&W permet une belle échappatoire. On peut calmer les deux zones incriminées et donc gommer ce caractère clivant. Une fois les basses dégrossies, les aigus légèrement adoucis – évidemment dans une certaine mesure pour éviter de créer d’autres déséquilibres – le résultat est propre, mieux étagé, pleinement engageant, véritablement à la hauteur des prétentions premium du PX7 S3.

Isolation : très proche des meilleurs (4,5/5)

Difficile d’atteindre les meilleurs casques du moment sur le terrain de la Réduction de Bruit Active. C’est pourtant la mission que se donne le PX7 S3 grâce à ses quelques optimisations. Si l’évolution est notable, il lui manque encore un peu d’efficacité pour réaliser cet exploit.

© Benoit Campion pour Capital

Les performances de la RBA du PX7 S3 progressent sur l’ensemble du spectre concerné par cette fonction, la différence se jouant avant tout sur la zone stratégique des bas médiums/médiums où l’on constate une atténuation supplémentaire de l’ordre de 5 et 10 dB, ce qui n’est pas rien. Le casque gère mieux certaines nuisances, une bonne partie des bruits de roulement, partiellement les voix (la sensation de proximité de ces dernières plus précisément) pour ne citer que ces exemples. Les résonances très graves sont quant à elles gommées avec une efficacité équivalente, ce qui suffit plus généralement à profiter d’un très bon confort en se coupant nettement de son environnement.

Mesure d’isolation phonique : bruit de référence (courbe noire), isolation phonique “naturelle” (courbe grise), Réduction de Bruit Active (courbe violet).
Mesure d’isolation phonique : bruit de référence (courbe noire), isolation phonique “naturelle” (courbe grise), Réduction de Bruit Active (courbe violet). © Benoit Campion pour Capital

Le PX7 S3 s’approche ainsi furieusement des ténors, mais la différence avec des casques tels que le QC Ultra, le WH-1000XM5 ou l’AirPods Max se joue encore à plus ou moins 5 dB d’écart dans certaines zones, ce qui l’empêche d’offrir une “bulle de silence” aussi incroyable que ces derniers. Comme toujours, cette différence se joue surtout sur les voix, pleurs d’enfants, et bruits très complexes comme ceux d’un chantier. Quoi qu’il en soit, le PX7 S3 n’a pas à rougir de sa performance, d’autant que sa Réduction de Bruit Active est stable et peu sensible au souffle du vent.

Mesure d’isolation phonique : bruit de référence (courbe noire), isolation phonique “naturelle” (courbe grise), mode d’écoute de l’environnement “Transparence” (courbe orange).
Mesure d’isolation phonique : bruit de référence (courbe noire), isolation phonique “naturelle” (courbe grise), mode d’écoute de l’environnement “Transparence” (courbe orange). © Benoit Campion pour Capital

Il y a aussi du mieux pour le mode d’écoute de l’environnement sonore “Transparence”. La perception paraît bien moins “assourdie” qu'auparavant, plus homogène et donc plus naturelle, notamment lorsqu’il s’agit de percevoir des alertes vocales ou pour une rapide conversation. Clairement exploitable, ce mode manque néanmoins encore un peu “d’ouverture” sur les plus hautes fréquences pour être vraiment transparent. On ressent encore l’effet du port du casque sur la tête, certains sons discrets peuvent nous échapper, et la localisation n’est pas ultra évidente.

Qualité d’appel : en net progrès (4,5/5)

Aidé par son nouveau module de réduction de bruit et ses microphones repositionnés, le PX7 S3 comble une lacune de son prédécesseur : la qualité d’appel. Sans révolutionner les performances des casques Bluetooth en la matière, le dernier né de B&W maintient correctement l’intelligibilité de la voix dans les environnements difficiles, ce qui est déjà un petit exploit.

© Benoit Campion pour Capital

Certaines syllabes peuvent être mâchées ponctuellement, mais on tient tout de même une conversation avec un minimum de confort dans les lieux bruyants (transports, travaux à proximité, trafic dense). Comme toujours, seule une brise un peu forte pourra jouer les trouble-fêtes. Le résultat est très convaincant dès lors qu’on s’éloigne des nuisances sonores. On peut trouver encore de petites choses à redire dans ces cas là, mais rien de fondamentalement gênant pour la personne à l’autre bout du fil.

Autonomie : meilleure que promise (4,5/5)

C’est l’un des seuls aspects qui n’a pas fait l’objet de promesses d'amélioration de la part du fabricant. 30h d’utilisation sont annoncées pour le PX7 S3 en Bluetooth et avec Réduction de Bruit Active enclenchée, tout comme le PX7 S2. Dans les faits, le nouveau venu s’est comporté de la même façon que ses prédécesseurs, à savoir dépasser sa promesse de plusieurs heures. Notre exemplaire de test s’est essoufflé à deux reprises après 33h d’utilisation, ce qui est un très bon score. Certes, d’autres casques sur le marché font mieux, le résultat reste largement suffisant pour couvrir un long courrier et plusieurs journées d’utilisation intensive.

Réparabilité : une disponibilité questionnable (2,5/5)

Nos commentaires sur le test du PX7 S2 sont toujours d'actualité avec ce PX7 S3. Ce casque ne fait pas mieux que les autres en matière de réparabilité. Les coussinets des oreillettes sont les seuls éléments aisément détachables, comme beaucoup d’autres casques sur le marché. L’arceau est théoriquement détachable lui aussi, mais l’entreprise semble extrêmement périlleuse pour l’intégrité du casque sans les connaissances et les outils nécessaires.

La batterie, elle, reste imbriquée dans les entrailles de l'appareil. Les pas de vis qui permettent d’y accéder sont bien visibles, mais encore faudrait-il que le constructeur se donne la peine de rendre disponibles les pièces détachées. Et malgré ses dires, rien ne semble avoir été mis en œuvre pour faciliter cela. On trouve bien un site officiel dédié listant de nombreuses pièces, mais il n’est valable que pour l’Amérique du Nord. Qui plus est, aucun élément n’est disponible à l’heure actuelle.

Les meilleures alternatives au Bowers & Wilkins PX7 S3

Bose QuietComfort Ultra : le roi de l'isolation

Le Bose QuietComfort Ultra constitue une alternative intéressante au PX7 S3 de B&W. Le choix de l’un ou de l’autre dépendra néanmoins fortement de vos besoins. De par ses performances, le QC Ultra s’adresse un peu plus aux mélomanes en quête d’un casque le plus confortable et compact possible, offrant la meilleure qualité d’appel et la meilleure isolation du moment, quitte à faire quelques concessions ergonomiques et de qualité sonore pure – des concessions toutes relatives selon l’usage et les priorités de chacun. On vous conseille donc de bien peser le pour et le contre après la lecture des tests respectifs.

Sony WH-1000XM4 : le meilleur rapport qualité / prix possible

Encore et toujours une référence, en attendant pourquoi pas le flamboyant WH-1000XM6, le WH-1000XM4 constitue une valeur sûre si vous souhaitez un très bon casque Bluetooth pour vous isoler et profiter de votre musique préférée dans de très bonnes conditions. Ce modèle accuse évidemment de son âge sur certaines fonctions/aspects, mais son rapport qualité/prix reste aujourd’hui imbattable.

Conclusion

Le PX7 S3 est un casque qui ne laisse pas indifférent, aussi bien sur la forme que sur le fond. La dernière création de Bowers & Wilkins incarne pleinement les standards des modèles haut de gamme et s’illustre une fois encore comme une référence sur le marché. Derrière sa conception très raffinée se cache une expérience d’utilisation complète, constante, sans défaut majeur. Une fois sa signature sonore (volontairement expressive) apprivoisée, le casque révèle pleinement ses capacités pour une écoute de grande qualité. S’il ne lui manque que très peu de choses pour évincer purement et simplement ses rivaux, il a de quoi ravir les mélomanes exigeants.

  • Qualité de fabrication : 4,5/5
  • Confort : 4,5/5
  • Prise en main & fonctionnalités : 4/5
  • Connectivité : 4,5/5
  • Performances sonores : 4,5/5
  • Isolation : 4,5/5
  • Qualité d’appel : 4,5/5
  • Autonomie : 4,5/5
  • Réparabilité : 2,5/5

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