Le risque semblait jusqu’ici contenu, il est désormais de plus en plus probable. A en croire RTE, le redémarrage plus lent que prévu des réacteurs nucléaires d’EDF a de grandes chances de mettre le système électrique sous tension. En septembre, le gestionnaire du réseau de transport de l’électricité identifiait deux périodes à risques : le passage de la fin novembre au début décembre et le mois de janvier. Pour la première, le maintien d’une baisse de la consommation électrique aux niveaux observés depuis la rentrée (environ -5%) devrait contrebalancer le retard pris sur la disponibilité du parc nucléaire. D’autant que, si les températures commencent à chuter, les dernières analyses météorologiques estiment comme peu probables la survenue d’épisodes de grand froid d’ici la fin de l’année.

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