Le cas : Une salariée travaillant dans une pharmacie est filmée par une caméra en train de frauder à la caisse. Licenciée pour faute grave, elle conteste cette décision, estimant ne pas avoir été prévenue que les caméras situées dans l’officine pour des questions de sécurité pouvaient aussi être utilisées pour surveiller les employés. Pour la Cour de cassation, si ce mode de preuve n’est pas licite, il ne doit toutefois pas être automatiquement rejeté par un tribunal ( Cass. soc., n° 20-12 263, 10 novembre 2021 ).

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