Le mot «brutal» laisse place à l’interprétation. Mais attention à ne pas confondre management un peu rude «à l’ancienne» et management nocif : dans ce dernier cas, la faute grave a vocation à être retenue, comme dans cette affaire récente. Le directeur général d’une association ne ménageait pas ses subordonnés. Il lui était reproché des critiques vives et méprisantes, d’avoir déchiré le travail d’un salarié en public au motif qu’il n’était pas satisfaisant, ainsi que des ordres et contre-ordres peu respectueux. L’association décide de le licencier.

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