A la louche, 5 à 10% des membres d'une équipe peuvent être considérés comme des fayots, prêts à tout pour plaire à leur N +1. Ce sont ces beaux parleurs qui n'assistent qu'aux réunions où le boss est présent pour lui tresser des couronnes de louanges, des travailleurs empressés à le soulager d'un dossier de seconde zone – pour vous le refiler en douce le week-end. Curieusement, ces incompétents, sauf dans l'art de la flagornerie, se multiplient dès lors que l'on s'élève dans la hiérarchie. Le fayotage serait donc une stratégie efficace ?

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