Beaucoup d’élèves et d’étudiants en ont fait l’expérience : les cours à distance imposés par les confinements et les fermetures de classe ne sont pas déroulés, loin s’en faut, aussi facilement que les visioconférences de leurs parents ! Mise en place poussive, logiciels incompatibles, bogues à répétition, contenus inadaptés… Le monde de l’éducation nationale n’était visiblement pas préparé à la téléscolarité et ne semble pas près de pouvoir s’y frotter à l’avenir.

L’enseignement privé, qui a dû faire face aux mêmes contraintes sanitaires, a su réagir bien plus vite et plus efficacement, dans la mesure où l’enseignement à distance s’y pratique au moins partiellement depuis une dizaine d’années. "Dès le premier confinement, en l’espace de quarante-huit heures, nous avons basculé l’intégralité de nos cours en distanciel. Depuis, tous nos enseignements ont pu être assurés, sans une minute de perdue !", affirme Vanessa Diriart, présidente pour la France de Galileo Global Education.

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