Des prix prohibitifs ? La presse étrangère grince des dents devant les tarifs affichés à la buvette du Stade de France. Alors que la cérémonie d’ouverture des Jeux olympiques, qui doit officiellement lancer l’événement, doit se tenir dans quelques heures, des épreuves ont d’ores et déjà débuté. C’est notamment le cas du tournoi de rugby à sept. Dans les gradins, de nombreux spectateurs sont venus soutenir leur équipe. Pour se désaltérer, ils peuvent accéder aux différents points de vente de l’enceinte. C’est là que le bât blesse, rapporte BFMTV, le 25 juillet 2024.

Le site d’informations australien Nexs.co.au pointe du doigt des prix «exorbitants». Pour justifier ce qualificatif, l’auteur de l’article s’appuie sur certains tarifs particulièrement élevés. Ainsi, dans le Stade de France, il faut débourser 7,50 euros pour s’offrir un paquet de chips de 150 grammes. De même, la glace est affichée au prix de 4,50 euros et les 100 grammes de pop-corn à 3,50 euros. La bière, boisson préférée des supporters de rugby, fait également grincer des dents les journalistes australiens. Au-delà de son prix (8 euros la pinte de 50 centilitres), c’est surtout le fait qu’elle soit sans alcool qui retient leur attention. Pour rappel, les boissons alcoolisées ne sont autorisées que dans les zones VIP.

Des prix élevés à l’extérieur du stade

En outre, la presse australienne relève que les tarifs sont également particulièrement élevés aux abords du stade. Le journaliste envoyé en reportage a relevé que «le plat le plus cher dans les stands situés à l'extérieur du stade est un cheeseburger à 18,10 dollars australiens [10,90 euros]». De même, il note que «les hot-dogs coûtent 15,65 dollars australiens [9,40 euros], suivis des sandwichs au poulet et des ciabattas à la mozzarella à 14 dollars [8,40 euros]».