La question des frais bancaires s’est finalement bien immiscée dans le projet de loi en faveur du pouvoir d’achat. Les parlementaires ont adopté un amendement en séance publique ce 21 juillet, sur initiative des députés Renaissance (ex-LREM), pour limiter les frais d’incidents bancaires prélevés indûment.

Qu’ils soient justifiés par un découvert non autorisé ou par un refus de prélèvement, les frais d'incidents bancaires sanctionnent avant tout les ménages pauvres, qualifiés de “fragiles” dans le jargon bancaire. Chaque année, 1,8 milliard d’euros leur sont ponctionnés via ce mécanisme.

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