Peut-être sauterez-vous le pas en 2025. En l'espace de cinq ans, l’Autorité des marchés financiers (AMF) a constaté une multiplication par 4 du nombre d'investisseurs français en ETF (ou fonds indiciels). Il faut dire que ces instruments financiers - lancés au début des années 1990 aux Etats-Unis - présentent plusieurs atouts séduction : des frais très bas (0,2% en moyenne en France, selon Quantalys), la possibilité de suivre la performance de toutes les grandes catégories d'actifs (actions, obligations, or, cryptos, etc.) et le tout de façon simplifiée : en une seule transaction, vous vous exposez à une diversité de titres, sans avoir besoin de grandes connaissances financières.

Côté pratique, les multiples façons d'investir dans ces «trackers» ont également aidé à leur popularité. Outre les plans d'épargne en actions (PEA) ou les compte-titres, une palette d'applications d'épargne ou de néobanques permettent aussi d'investir dans des ETF depuis son smartphone, notamment de manière automatisée. Mais franchir le pas a beau être facilité, cela n'aide pas à choisir sur quelles grandes catégories d'actifs ou indices boursiers miser, surtout compte tenu du nombre d'ETF disponibles : plus de 2 000, par exemple, sur l'application Trade Republic.

Comment constituer son portefeuille d'ETF pour 2025 ?

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