« Mieux transmettre le fruit de son travail » : désormais réélu, le président candidat va devoir mettre en musique sa promesse, formulée lors de la présentation de son programme, à la mi-mars. Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’elle devrait satisfaire pas mal de Français. Certes, la moitié d’entre eux, qui reçoivent au cours de leur vie un montant de donations et de legs inférieur à 70.000 euros, ne paient déjà pas d’impôt sur la succession. Mais les autres devraient prochainement profiter d’abattements généreusement rehaussés, de 50% dans le cas des dons en ligne directe, à destination des enfants (exonération jusqu’à 150.000 euros, au lieu de 100.000 aujourd’hui), et même de 200% pour les gratifications consenties aux petits-enfants (exonération jusqu’à 100.000 euros, contre 31.865 actuellement).

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