Ils se sont rencontrés à Paris dans une entreprise de chimie, avec la même envie : celle de quitter la ville, le stress, le bruit, le monde. “La vie parisienne ne correspondait plus à nos attentes. Nous avons décidé de changer de vie sans savoir, au départ, vers quoi nous diriger. La certitude, c’était que nous voulions nous reconnecter à la nature et à l’humain”, explique Aurélien, 41 ans. Un bilan de compétences plus tard, leur idée se confirme. Ils ouvriront une ferme en maraîchage avec un volet pédagogique et social : la Ferme de l’Oasis.

La suite est réservée aux abonnés
Abonnez-vous à Capital à partir de 1€ le premier mois
  • Accès à tous les articles réservés aux abonnés, sur le site et l'appli
  • Le magazine en version numérique
  • Navigation sans publicité
  • Sans engagement