La crise du logement peut-elle être résolue d’ici la fin de l’année 2024 ? C’est plus qu’improbable, s’inquiètent les principales fédérations de l’immobilier réunies à Paris, mardi 25 juin, pour les Assises du Logement et de la Ville. «Vu les tendances, le rythme des transactions devrait encore ralentir d’ici fin 2024. Et les prix devraient baisser de 5 à 7%», pronostique Loïc Cantin, le président de la Fédération nationale de l’immobilier. Pire encore : selon le patron de la Fnaim, «une décélération supplémentaire des ventes est possible en 2025».

Un marché de l’ancien qui sera relancé par une baisse des prix et des taux de crédit

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