Voici une erreur qui ne vous coûtera rien de votre vivant, mais qui pourrait amener vos héritiers devant la justice. Lorsqu'on interroge les Français sur le placement qu'ils privilégient pour préparer leur succession, ils sont nombreux à penser d'abord à l'assurance vie. Selon une étude récente de l'association d'épargnants Asac-Fapes, 55% des répondants considèrent qu'il s'agit du meilleur outil pour transmettre leur héritage. Et pourtant, il s'agit là d'un usage détourné de la fonction première de l'assurance vie, qui est un produit d'épargne destiné à financer des projets du vivant de son souscripteur : payer les études des enfants, se constituer un apport, prévoir un complément de revenu pour la retraite, etc.

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