On le repère facilement: des pauses déjeuner à rallonge, des coups de téléphone qui n’en finissent pas, des mails d’absence qui se multiplient… Un chef peu impliqué esquivera avec plus ou moins de finesse toute charge de travail importante en se reposant sur ses collaborateurs. Pour ces derniers, la situation peut devenir pénible, si leurs efforts ne sont pas reconnus en haut lieu. Certains dirigeants paresseux n’ont guère de scrupules à s’approprier les résultats obtenus par leurs équipes. Pour autant, inutile de foncer dans le bureau de son patron pour aller lui dire ses quatre vérités.

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