Au début de l'année, des chercheurs de l'université Carnegie Mellon (Californie, Etats-Unis) ont utilisé un système robotisé pour mener des dizaines d'expérimentations visant à générer des électrolytes permettant aux batteries lithium-ion de se charger plus rapidement. Ainsi, les chercheurs pourraient avoir trouvé un moyen d'éliminer l'un des principaux obstacles empêchant l'adoption généralisée des véhicules électriques.

Le système de pompes, valves et instruments automatisés est baptisé "Clio". Il a mélangé divers solvants, sels et autres produits chimiques avant d'évaluer les performances de la solution face aux critères critiques de référence des batteries. Ensuite, les résultats ont été transmis à un logiciel d'apprentissage automatique (machine learning) nommé "Dragonfly" qui s'est servi de ces données pour proposer différentes combinaisons chimiques susceptibles d'offrir de meilleures performances.

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