
Un voyage dont les passagers se rappelleront pendant longtemps. L’histoire rocambolesque du jour nous est contée par L'Indépendant. Le site d’information relate la mésaventure d’une femme qui a emprunté un autocar de la compagnie Flixbus. Le véhicule s’est élancé le jeudi 16 janvier de la gare de Barcelone afin de rallier la gare de Lyon-Perrache. La passagère, quant à elle, voulait se rendre chez son père, à Perpignan. Si elle savait qu’elle ne circulerait pas seule à bord, elle était loin de s'imaginer qu’elle serait accompagnée de nuisibles.
Ainsi, quelle ne fut sa surprise lorsque cette dernière découvrit des cafards sur les rideaux de l’autocar au départ. À ce moment-là, les quatre voyageurs qui sont montés à bord signalent le problème au conducteur qui décide de prendre tout de même la route. Quelques kilomètres plus loin, le véhicule fait un arrêt à la station nord de Barcelone. Les nouveaux arrivants constatent le même souci. Les nuisibles grimpent au rideau et grouillent aussi bien au niveau des compartiments pour bagages que dans les aérations. Deux agents de la compagnie montent également à bord pour effectuer un contrôle. Mais encore une fois, l’autocar repart.
Les voyageurs se retrouvent debout dans l’autocar qui grouille de cafards
La passagère relate à L’Indépendant : «Alors que le bus était sur l’autoroute à 100 km/h, nous étions debout dans le couloir car les cafards étaient sur les sièges et les rideaux.» S’en est trop, les passagers se révoltent et exigent que l'autocar s'arrête. Le conducteur s’exécute finalement en gare de Ripollet. Là, il trouve un autre véhicule affrété par Flixbus. Tous les passagers ont donc pu finalement arriver à bon port.
Désormais, la compagnie essaie de comprendre comment un tel événement a pu se produire à bord de l’un de ses cars. D’après Flixbus, l’autocar en question avait déjà fait l’objet d’un traitement contre les nuisibles. Des investigations sont menées pour comprendre d'où peut bien provenir cette invasion de cafards. Quant au fait que le conducteur ne se soit pas arrêté, il semblerait qu’il ait jugé bon de se rendre dans une gare disposant d’un autre véhicule pour faire un transfert de passagers sans prendre de retard sur le temps du trajet. Désormais, les passagers concernés par le désagrément sont invités à se rapprocher de la compagnie pour trouver une solution à l’amiable.


















