Des volumes de ventes qui vont continuer à baisser, des prix qui vont s'ajuster plus fortement en province et notamment dans les villes moyennes, des primo-accédants qui ont toujours autant de mal à se loger... Comment sortir de la crise de l'immobilier ? Loïc Cantin, le président de la Fnaim, répond aux questions de Capital.

Capital : En pleine crise du logement, comment se présente le printemps, traditionnellement la meilleure saison pour les achats immobiliers ?

Loïc Cantin Dans la continuité de 2023, qui a vu le nombre de transactions dans l’ancien chuter de plus de 22%, à 865 000 ventes. On observe toutefois un très léger mieux, avec le retour de certains acquéreurs, à la faveur de la légère baisse des taux de crédit. Pour autant, nous tablons sur une nouvelle chute des transactions, cette année, de l’ordre de 10%, à 800 000 ventes.

Que faut-il pour débloquer le marché ?

La suite est réservée aux abonnés
Abonnez-vous à Capital à partir de 1€ le premier mois
  • Accès à tous les articles réservés aux abonnés, sur le site et l'appli
  • Le magazine en version numérique
  • Navigation sans publicité
  • Sans engagement