Faute avouée à moitié pardonnée ? C'est ce qu'espérait la filiale française de Nestlé en révélant, dans une interview au journal Les Échos le 29 janvier, être enfin en conformité pour la production de ses eaux en bouteilles Vittel, Contrex, Hépar et Perrier. Ce faisant, le minéralier a dû admettre avoir eu recours pendant des années à des filtres ultraviolets ou au charbon actif pour rendre ses eaux potables, des traitements pourtant interdits dans la réglementation des eaux minérales naturelles.

La suite est réservée aux abonnés
Abonnez-vous à Capital à partir de 1€ le premier mois
  • Accès à tous les articles réservés aux abonnés, sur le site et l'appli
  • Le magazine en version numérique
  • Navigation sans publicité
  • Sans engagement