La crise énergétique est bel et bien passée. Début avril, les cours boursiers de l’électricité ont atteint un plus bas, passant même en territoire négatif. La capacité de production de la France - notamment grâce à ses énergies renouvelables - était tellement abondante que les marchés ont incité le pays à mettre à l’arrêt une partie de sa production. De manière plus structurelle, la remise sur pied du parc nucléaire et la sobriété consentie par les ménages et entreprises ont permis de tourner la page d’une année 2022 marquée par des pointes de prix à des niveaux records.

La suite est réservée aux abonnés
Abonnez-vous à Capital à partir de 1€ le premier mois
  • Accès à tous les articles réservés aux abonnés, sur le site et l'appli
  • Le magazine en version numérique
  • Navigation sans publicité
  • Sans engagement