C’est une décision du Conseil d’État passée totalement inaperçue, sauf des quelque 1 200 chirurgiens esthétiques français. En cause : l’exonération de TVA qu’ils revendiquent pour leurs activités. Saisie par une praticienne marseillaise victime d’un redressement fiscal, la juridiction administrative suprême l’a déboutée le 30 mai 2024. La docteure A. est bien redevable de la TVA à 20%, faute d’avoir apporté la preuve que les actes prodigués avaient une finalité thérapeutique - pas seulement esthétique.

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