Investir dans l’ancien

Du fait de l’encadrement des loyers, mieux vaut privilégier les grands studios. «Leur loyer plafond avoisine les 20 euros par mètre carré, contre 17 euros dans le cas d’un deux-pièces», indique Julian Rabier, responsable de projets immobiliers chez Bevouac. Il reste alors possible de dénicher 4% de rendement, y compris aux adresses les plus centrales. Exemple aux Terreaux (Ier arrondissement), avec ce studio de 32 mètres carrés au rez-de-chaussée d’un immeuble des années 1900, loué 600 euros et payé 150.000 euros, avant 15.000 euros de travaux. Quant à ce studio des années 1950 de la rue Guilloud, au cœur du secteur Sans-Souci, il a coûté 105.000 euros et en rapportera 460 par mois. Soit 5,3% de rendement. Mais pour des rentabilités de 7%, et même si le plafonnement s’y applique, c’est vers Villeurbanne qu’il faut se tourner, notamment à Gratte-Ciel ou Charpennes-Tonkin.

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